
Parmi ses mesures phares prises lors du dernier du sommet extraordinaire sur la situation au Mali, la CEDEAO a exigé la démission des 31 députés dont l’élection est contestée. Une décision loin d’être la solution à la crise, a estimé le 29 juillet le M5RFP.
D’ores et déjà, les députés concernés ont affirmé leur refus de se soumettre aux injonctions de la CEDEAO. D’après le M5RFP, la dissolution de l’Assemblée Nationale s’impose dès lors comme l’unique recours. Le Président de la République est le seul habilité à prendre une telle décision.
La CEDEAO avait également annoncé des sanctions à ceux qui seront un frein au processus de résolution de la crise. Mais face à l »impasse où les députés refusent de démissionner et le Président ne dissout pas le parlement, le M5RFP s’interroge si les Chefs d’Etat de la CEDEAO appliqueront effectivement les sanctions brandies.
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